Harbonnières Sommaire Géographie | Toponymie | Histoire | Politique et administration | Population et société | Économie | Culture locale et patrimoine | Pour approfondir | Notes et références | Menu de navigationmodifierHarbonnières« Dossier complet : Commune d’Harbonnières (80417) »« Liste des documents numérisés concernant la commune »« Le réseau Trans'80 en ligne »« L'église »« Photo : Harbonnières. A l'hospice : salle des blessés : au fond, mère Marie de la Flagellation, citée à l'ordre du jour de l'armée »« Photo : Harbonnières. Lisières du village. Dépôt de bombes à ailettes pour canons de 58 »« Photo : Harbonnières. Maison atteinte par un obus qui vient de tomber à quelques mètres de l'ambulance »« Photo : Harbonnières. Près du cimetière : douilles de 75 »« Photo : Harbonnières. Place de l'église : ravitaillement »« Photo : Harbonnières (près). Canon de 305 tirant »« Photo : Harbonnières. Aux lisières du village. Batterie d'auto-canons de 75 contre avions »« Photo : Harbonnières. Carrefour et maisons bombardées »« Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France »Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'huilire en ligne« Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental »lire en lignelire en lignelire en lignelire en ligne« CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) »« Les maires de Harbonnières »lire en ligne« Immobilier Harbonnières »« Liste des maires de la Somme »« Liste des maires de la Somme »L'organisation du recensementCalendrier départemental des recensements20062007200820092010201120122013201420152016lire en ligne« chaire à prêcher »« deux reliefs : Annonciation, Adoration des bergers »« Ensemble du maître-autel : lambris, parquet, autel, tabernacle, retable, tableau, statue »B000WR15W8« Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 et de la Guerre de 1939-1945 »Notice no IM80000036statue : allégorie du deuil.« Harbonnières – 80 – Cimetière militaire britannique »« Usine de bonneterie Bouly Lepage, puis anciens Ets Bouly, puis Sté Produits Chimiques d'Harbonnières »
Commune de la SommeVille décorée de la croix de guerre 1914-1918
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Monument aux morts de Georges Roty. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Canton | Moreuil | ||||
Intercommunalité | CC Terre de Picardie | ||||
Maire Mandat | Régis Ventelon 2014-2020 | ||||
Code postal | 80131 | ||||
Code commune | 80417 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 1 645 hab. (2016 ) | ||||
Densité | 107 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 50′ 58″ nord, 2° 40′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 94 m | ||||
Superficie | 15,37 km2 | ||||
Localisation | |||||
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Harbonnières est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Communes limitrophes
1.2 Transports en commun routiers
1.3 Géographie physique
1.3.1 Nature du sol et du sous-sol
1.3.2 Relief, paysage, végétation
1.3.3 Hydrographie
2 Toponymie
3 Histoire
4 Politique et administration
4.1 Rattachement administratifs et électoraux
4.2 Intercommunalité
4.3 Liste des maires
5 Population et société
5.1 Démographie
5.2 Enseignement
6 Économie
7 Culture locale et patrimoine
7.1 Lieux et monuments
7.2 Personnalités liées à la commune
7.3 Héraldique
8 Pour approfondir
8.1 Bibliographie
8.2 Articles connexes
8.3 Liens externes
9 Notes et références
9.1 Notes
9.2 Références
Géographie |
Harbonnières est aisément accessible par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029). Le village est à faible distance des autoroutes A1 et A29.
Communes limitrophes |
Transports en commun routiers |
La localité est desservie par les autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les mardis sauf les jours fériés (ligne no 43, Harbonnières - Rosières-en-Santerre, ligne no 47)[1].
Géographie physique |
Nature du sol et du sous-sol |
Le sol et le sous-sol d'Harbonnières, bourg picard du plateau du Santerre, sont de formation tertiaire. Ils sont formés de couches argileuses de limon des plateaux qui laisse passer l'eau jusqu'à une profondeur de dix mètres. Le diluvium se rencontre dans un fond de vallée[2].
Relief, paysage, végétation |
Le relief de la commune est celui d'un plateau compris entre la vallée de la Luce et celle de la Somme. Le nord-est est à peu près plat sauf une petite vallée sèche qui se dirige vers Morcourt. Les environs du village sont légèrement vallonnés d'où un vallon va rejoindre la vallée de la Luce[2].
Hydrographie |
Aucun cours d'eau ne traverse la commune d'Harbonnières. La nappe phréatique se trouvait, à la fin du XIXe siècle à 22 mètres du niveau du sol.
Toponymie |
On trouve pour désigner Harbonnières, dans les textes anciens, plusieurs formes : Arboneria (1111), Harbonnérii, Harbonières et enfin en 1215, Harbonnières.
Selon une hypothèse, le nom serait dû au fait que des herbes ou des arbres touffus croissaient à l'endroit où se sont implantées les premières habitations[2]. Selon une seconde hypothèse, le nom de la commune dériverait d'Harbo, nom d'un chef franc. Harbonnières serait alors le domaine de ce chef[3].
Histoire |
- Les vestiges de trois villas gallo-romaines ont été retrouvés[2].
- Le lieu fut érigé en paroisse avant le XIIe siècle, et en commune en 1104. Le prieuré clunisien de Lihons-en-Santerre nomme le curé à partir de 1111 tandis que l'abbaye de Saint-Fuscien et le prieuré de Méricourt-sur-Somme se partagent le reste de la dîme[4].
- Au XIIe siècle, Harbonnières possédait une maladrerie et un Hôtel-Dieu. Sous Louis XIV, les biens de la maladrerie et de l'Hôtel-Dieu d'Harbonnières furent unis à l'Hôtel-Dieu de Montdidier.
- Harbonnières fut le siège de deux foires annuelles dès le Moyen Âge, et Charles IX en ajouta deux en 1567[2].
- La seigneurie d'Harbonnières passa au XIVe siècle à la famille de Lorraine, qui participa à la reconstruction de l'église au XVIe siècle[4].
- En 1888, à la suite d'un don de Justine Vaillant, habitante d'Harbonnières, la congrégation de Notre-Dame des Sept Douleurs fonda un hospice au centre du village. Détruit lors de l'offensive allemande de 1918, l'hospice fut reconstruit en 1927. En 1950, l'établissement fut reconverti en orphelinat puis en institut pour enfants handicapés mentaux. Il accueille aujourd'hui des adultes handicapés.
- Pendant la Première Guerre mondiale, Harbonnières se trouve dans la zone des combats ou de son arrière[5],[6],[7],[8],[9],[10],[11].
- Harbonnières fut reprise par les Français au cours de l'été 1916, pendant la bataille de la Somme. Pris par les Allemands le 27 avril 1918, le bourg sera définitivement repris par les Australiens le 8 août de la même année lors de la contre-offensive victorieuse des Alliés[12].
- La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le 3 novembre 1920[13].
Politique et administration |
Rattachement administratifs et électoraux |
La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du 27 décembre 2016, la commune en est détachée le 1er janvier 2017 pour intégrer l'arrondissement de Péronne[14]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rosières-en-Santerre[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.
Intercommunalité |
La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le 31 décembre 1993.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[16].
Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[17],[18],[19]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[20], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le 1er janvier 2017[21].
Cette procédure aboutit à la création au 1er janvier 2017 de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[22].
Liste des maires |
Population et société |
Démographie |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2016, la commune comptait 1 645 habitants[Note 1], en augmentation de 7,52 % par rapport à 2011 (Somme : +0,27 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Enseignement |
L'intercommunalité gère l'école primaire (réalisée en 2017 et qui a coûté 1,6 million d’euros) et l'école maternelle de Harbonnières, qui accueillent en 2017-2018, 176 élèves, dont une centaine en primaire. Les écoles pourraient accueillir les élèves de Caix et devenir un regroupement pédagogique concentré, mais la municipalité de Caix a obtenu le maintien de son école en 2017[31].
Économie |
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La terre fertile a rendu prospère l'agriculture principalement céréalière et betteravière. L'élevage de chevaux trait du Nord est aussi présent sur la commune.
Harbonnières possède sur son territoire un certain nombre d'activités économiques, dont :
- la Société des Produits chimiques d'Harbonnières (S.P.C.H.), située à l'entrée du village sur la route de Bayonvillers ;
- plusieurs commerces : une boulangerie, une épicerie, deux coiffeurs, un bars-restaurants, situés dans le bourg ;
- le foyer de vie « Notre-Dame » est l'un des principaux employeurs de la commune, situé en plein centre du bourg, à côté de l'église.
Culture locale et patrimoine |
Lieux et monuments |
- L'église Saint-Martin
- L'église Saint-Martin d'Harbonnières, l'une des plus vastes du Santerre et parfois appelée « la petite cathédrale du Santerre », reconstruite à l'emplacement d'une église plus ancienne, date des XVIe siècle et XVIIe siècle[4].
- Construite en craie, on distingue, dans cette église, deux styles architecturaux différents : le gothique flamboyant de la nef à cinq travées et le style Renaissance du chœur et du transept.
- Un important mobilier de style Louis XIV est venu enrichir l'église, avec notamment une chaire[32] deux bas-reliefs représentant l'annonciation et l'adoration des bergers[33], ainsi que le maître-autel peints par Alexis Mazerolle en 1855[34].
- L'édifice a été Classé MH (1906).
- La chapelle du cimetière
- Cette chapelle a été édifiée en pierre de taille en 1817, avant le transfert du cimetière communal à cet endroit, en 1845. Elle possède une statue polychrome de la Vierge et un ex-voto en marbre de 1891. Le toit de la chapelle a été refait en 2000 par la municipalité[35].
- Le monument aux morts, édifié grâce à une de souscription publique en 1922[36], décoré d'une sculpture de femme en pleurs de Georges Roty, fils d'Oscar Roty[37]. L'église paroissiale comprend une autre plage commémorative, édifiée aux frais du clergé vers 1926 : cette stèle est ornée d'une mosaïque représentant le Christ en buste, et d'un bas-relief montrant le transport d'une civière[36].
- Cimetière militaire Heath Cimetery
- « Heath » signifie lande. Située face au bois du Sart, au bord de la route Amiens - Saint-Quentin, au nord d'Harbonnières, cette nécropole contient 1 860 corps d'hommes tués entre septembre 1915 et octobre 1918 (859 Britanniques, 9 Canadiens, 984 Australiens, 6 Néo-Zélandais et 2 Sud-Africains) dont plus de 360 n'ont pu être identifiés.
- Tous les corps reposant ici, proviennent de tombes isolées et de cimetières édifiés au cours du conflit, situés à proximité, en particulier entre Harbonnières et Bray-sur-Somme[38].
- Anciens bâtiments industriels en brique, 30 rue de Feuquières, reconstruits en 1921 pour la bonneterie Bouly Lepage créée en 1888 et détruits pendant la Première Guerre mondiale, utilisés actuellement par la société des produits chimiques d'Harbonnières[39].
Personnalités liées à la commune |
- Prudence Pezé veuve Guiraud dite la Louve de Rainecourt (1766-1820), native d'Harbonnières, chef de la bande des chauffeurs du Santerre, malfaiteurs et assassins qui sévissaient dans l'Est du département de la Somme depuis la fin du XVIIIe siècle. Elle tint son surnom du fait que devenue veuve, elle gérait une auberge à Raineville, hameau de Framerville-Rainecourt, près d'Harbonnières. Condamnée à mort, elle fut guillotinée à Rosières-en-Santerre.
François Vidocq (1775-1857), ancien bagnard devenu chef de la police de sûreté à Paris. Il arrive dans la Somme pour démasquer et arrêter les chauffeurs du Santerre. En 1820, logeant à Harbonnières, il s'infiltra dans la bande de La Louve de Rainecourt et parvint à faire arrêter tous ses membres.
Louis-Emmanuel Maréchal, né le 27 février 1789 à Harbonnières. Maréchal des logis sous le Premier Empire au 12e chasseurs à cheval, de 1809 à 1815[réf. nécessaire].
- Georges Croisille, commandant de la marine marchande, né le 4 septembre 1908 à Harbonnières. Premier commandant du paquebot France après avoir commandé de nombreux paquebots tels que Colombie, Antilles, Flandre et Liberté, décédé le 9 janvier 1991 à Ville-d'Avray.
Héraldique |
Blason | De sable semé de fleurs de lis d'or. | |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir |
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Bibliographie |
- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 143 à 149 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2).
- Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second : Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).
- Antoine Goze, Notice sur l'église, la commune et les seigneurs d'Harbonnières, A. Caron, 1855.
- Edouard Legenne, Les Ricochets de l'histoire, à Harbonnières, village picard, C.R.D.P., Amiens, 1980.
Adrien Varloy, Les Chauffeurs du Santerre, 1907, réédition, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse Res Universis, 1991 (ISBN 2 - 87 760 - 476 - 4) .
Articles connexes |
- Liste des communes de la Somme
- Santerre
- Chauffeurs du Santerre
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
Liens externes |
« Dossier complet : Commune d’Harbonnières (80417) », Recensement général de la population de 2014, INSEE (consulté le 13 août 2017).
« Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le 13 août 2017).
Notes et références |
Notes |
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références |
« Le réseau Trans'80 en ligne ».
Notice géographique et historique sur la commune d'Harbonnières rédigée par Monsieur Heuduin, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
Edouard Legenne,Les Ricochets de l'histoire à Harbonnières, village picard, Amiens, 1980, C.R.D.P.
« L'église », notice no IA80000852, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. A l'hospice : salle des blessés : au fond, mère Marie de la Flagellation, citée à l'ordre du jour de l'armée », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, 28 mai 1916(consulté le 13 août 2017).
Cliché commandant Blanchet, Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Lisières du village. Dépôt de bombes à ailettes pour canons de 58 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, juillet 1916(consulté le 13 août 2017).
Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Maison atteinte par un obus qui vient de tomber à quelques mètres de l'ambulance », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, 6 septembre 1916(consulté le 13 août 2017).
Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Près du cimetière : douilles de 75 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, 6 septembre 1916(consulté le 13 août 2017).
Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Place de l'église : ravitaillement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, 20 novembre 1916(consulté le 13 août 2017).
Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières (près). Canon de 305 tirant », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, novembre 1916(consulté le 13 août 2017).
cliché du sergent Bonnemaison, Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Aux lisières du village. Batterie d'auto-canons de 75 contre avions », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, 1917(consulté le 13 août 2017).
Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Carrefour et maisons bombardées », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, 14 août 1918(consulté le 13 août 2017).
Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17720.
« Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, 27 décembre 2016(consulté le 15 janvier 2017).
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, 18 septembre 2015(lire en ligne).
« Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, 13 octobre 2015(consulté le 15 mai 2016).
Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, 13 octobre 2015(lire en ligne).
« Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, 2 octobre 2015(lire en ligne).
« Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, 10 février 2016(lire en ligne).
« Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, 22 avril 2016, p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
« CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, 1er avril 2017(consulté le 10 juin 2017).
« Les maires de Harbonnières », sur http://www.francegenweb.org (consulté le 13 août 2017)
« Harbonnières : Le nouvel élan du maire », L'Union - L'Ardennais, 4 février 2008(lire en ligne, consulté le 15 juin 2014)
« Immobilier Harbonnières » (consulté le 6 septembre 2008)
« Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, 9 juin 2008(consulté le 5 septembre 2008)
« Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, 6 mai 2014(consulté le 9 juin 2014)
L'organisation du recensement, sur insee.fr.
Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
Benjamin Merieau, « L’école primaire d’Harbonnières prête à la rentrée : Les élus ont visité le chantier de l’école, qui pourrait accueillir à terme les élèves de Caix. La cantine et l’école maternelle suivront aux rentrées scolaires 2018 et 2019 », Le Courrier picard, 8 juin 2017(lire en ligne, consulté le 13 août 2017).
« chaire à prêcher », notice no PM80000743, base Palissy, ministère français de la Culture.
« deux reliefs : Annonciation, Adoration des bergers », notice no PM80001642, base Palissy, ministère français de la Culture.
« Ensemble du maître-autel : lambris, parquet, autel, tabernacle, retable, tableau, statue », notice no PM80001632, base Palissy, ministère français de la Culture.
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 242 (ASIN B000WR15W8).
« Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 et de la Guerre de 1939-1945 », notice no IA80000059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Notice no IM80000036statue : allégorie du deuil., base Palissy, ministère français de la Culture
Marc Nadaux, « Harbonnières – 80 – Cimetière militaire britannique », CANOPÉ académie d'Amiens (consulté le 13 août 2017).
« Usine de bonneterie Bouly Lepage, puis anciens Ets Bouly, puis Sté Produits Chimiques d'Harbonnières », notice no IA00076651, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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