Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein Sommaire Biographie | Notes et références | Sources | Lien externe | Menu de navigationmodifiermodifier le codeNoticePhilippe, Antoine Vogt d'Hunolstein
Général français du XVIIIe siècleGénéral français du XIXe siècleNaissance en mai 1750Naissance à MetzDéputé de la RestaurationDécès en avril 1830Militaire de MetzChevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-LouisDéputé de la MoselleDécès à 79 ans
Ancien RégimeMoselleRestaurationTrois-Évêchésélectorat de TrèvesPhilippe CharlesMestre de campChartres-dragonsordre de Saint-Louisgénéral de brigadeMaréchal de campRévolutionNapoléon IerMoselleChambre introuvableGénéral de corps d'arméeMarville

Député de la Moselle | |
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22 août 1815 -5 septembre 1816 | |
Naissance | 4 mai 1750 Metz, Moselle, France |
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Décès | 24 avril 1830 (à 79 ans) Marville, Meuse, France |
Allégeance | ![]() |
Activités | Homme politique, militaire |
Arme | cavalerie |
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Grade militaire | Lieutenant-général |
Distinction | Chevalier de Saint-Louis |
Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein (1750-1831) est un général français d'Ancien Régime. Il fut député de la Moselle sous la Restauration.
Sommaire
1 Biographie
2 Notes et références
3 Sources
4 Lien externe
Biographie |
Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein naît le 4 mai 1750 à Metz[1], dans les Trois-Évêchés. Appartenant à une vieille famille de la noblesse lorraine, tirant son nom du chef-lieu de la baronnie d'Hunolstein, dans l'électorat de Trèves[2], Philippe Antoine se destine très tôt à la carrière des armes. Le 4 février 1770, Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein épouse Élise Aglaé de Puget de Barbentane, dont il aura un fils, Philippe Charles quatre ans plus tard. En 1774, il sert au régiment de Chartres, un régiment de cavalerie[1].
En 1780, Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein est nommé « Mestre de camp », soit colonel, du régiment de Chartres-dragons. Un peu plus tard, il est fait chevalier de l'ordre de Saint-Louis. Le 1er janvier 1784, Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein est promu « Brigadier de cavalerie », soit général de brigade. Quatre ans plus tard, le 9 mars 1788, Vogt d'Hunolstein est promu « Maréchal de camp », soit général de division[2].
Lorsque la Révolution éclate, le « Maréchal de camp » Vogt d'Hunolstein quitte l'armée, mettant sa carrière militaire entre parenthèses[2]. Après la chute de l'empereur Napoléon Ier, Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein est élu député de la Moselle à la « Chambre introuvable », où il fait partie de la minorité ministérielle (1815-1816)[2]. Le 22 mai 1816, le comte d'Hunolstein est promu au grade de « Lieutenant-général », soit Général de corps d'armée, de la nouvelle armée royale[2].
Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein décèdera à Marville dans la Meuse, le 24 avril 1830[1].
Notes et références |
Notice sur geneanet.org.
A.Robert et G.Cougny: Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, Bourloton, Paris.
Sources |
- « Philippe Antoine Vogt d'Hunolstein », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
Lien externe |
Philippe, Antoine Vogt d'Hunolstein sur assemblee-nationale.fr.
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