Louis-Vincent de Langle Sommaire Biographie | Notes et références | Voir aussi | Menu de navigationmodifierlire en ligneFRBNF36383350lire en ligneFRBNF37624571FRBNF37450961lire en ligne0765-3565
Naissance en novembre 1714Naissance à BrestMilitaire français de la bataille des Cardinaux
Brestofficier de marinearistocrateguerre de Sept AnsBrestgarde-marinelieutenant de vaisseauAchillecapitaine de vaisseauSolitairemaréchal de FranceHubert de Brienne de Conflansbataille des CardinauxSoleil RoyalRochefort
| Louis-Vincent de Langle Vicomte de Langle | |
| Naissance | 2 novembre 1714 Brest |
|---|---|
| Origine | Français |
| Allégeance |  Royaume de France |
| Arme |  Marine royale française |
| Grade | Capitaine |
| Années de service | 6 février 1730-16 septembre 1764 |
| Commandement | Solitaire |
| Conflits | Guerre de Sept Ans |
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Louis-Vincent de Langle, comte, né le 2 novembre 1714 à Brest, est un officier de marine et aristocrate du XVIIIe siècle. Il sert pendant la guerre de Sept Ans.
Sommaire
1 Biographie
2 Notes et références
2.1 Notes
2.2 Références
3 Voir aussi
3.1 Bibliographie
3.2 Articles connexes
Biographie |
Louis-Vincent, comte de Langle, naît le 2 novembre 1714 à Brest[1],[2].
Il s’engage comme garde-marine le 6 février 1730[2].
Il devient ensuite lieutenant de vaisseau le 1er janvier 1746 et est affecté sur l’Achille[3]. Il est nommé capitaine de vaisseau le 17 mai 1756[2] ; il prend alors le commandement du Solitaire[3].
En 1759, le Solitaire qu'il commande, fait partie de l'escadre de 21 vaisseaux du maréchal de France Hubert de Brienne de Conflans concentrée à Brest en vue d'un débarquement en Angleterre[4]. Il participe à la bataille des Cardinaux le 20 novembre 1759, dans l’escadre blanche — l’escadre qui forme le corps de bataille ainsi nommée, est commandée par le maréchal de Conflans depuis le vaisseau amiral, le Soleil Royal. Au lendemain de cette bataille perdue, le Solitaire fait partie du groupe de huit vaisseaux qui s'enfuient vers l'île d'Aix puis Rochefort à la suite du Tonnant[5].
Il se retire du service actif le 16 septembre 1764[2].
Notes et références |
Notes |
Références |
Loi relative aux pensions - Donnée à Paris le 6 avril 1791 (lire en ligne), p. 12.
Lacour-Gayet 1910, p. 524.
Hyacinthe-D. de Fourmont, L'Ouest aux croisades (Anjou, Bretagne, Maine et Poitou), Nantes, F. Masseaux, 1854(notice BnF no FRBNF36383350, lire en ligne), p. 98.
Lacour-Gayet 1910, p. 352-367 et p. 519-520.
La Condamine 2000, p. 96.
Voir aussi |
Bibliographie |
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Pierre de La Condamine, Le combat des Cardinaux : 20 novembre 1759, baie de Quiberon et rade du Croisic, La Turballe, Éd. Alizés, 2000 (1re éd. 1982), 143 p. (ISBN 2-911835-03-4, notice BnF no FRBNF37624571)
Georges Lacour-Gayet, La Marine militaire de la France sous le règne de Louis XV, Paris, Honoré Champion éditeur, 1910 (1re éd. 1902), 581 p. (notice BnF no FRBNF37450961, lire en ligne)- Guy Le Moing, « La bataille des Cardinaux », Les Cahiers du Pays de Guérande, Société des Amis de Guérande, 2011(ISSN 0765-3565)
Articles connexes |
- Histoire de la marine française sous Louis XV et Louis XVI
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