Turenne (Corrèze) Sommaire Géographie | Histoire | Politique et administration | Démographie | Économie | Patrimoine | Notes et références | Bibliographie | Voir aussi | Menu de navigationmodifierVotre aideL'organisation du recensementCalendrier départemental des recensementsDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui20062007200820092010201120122013201420152016« Maison Livet »« Maison Duché »« Maison Ceyroux »« Château de Linoire »« Vestiges du château »« Ancienne chapelle des Capucins »Turenne (Corrèze)Ville de Turenne- la MairieOffice du Tourisme du Pays de Brivele Causse CorrezienLe Château de TurenneTurenne l'un des plus beaux Villages de Francemm

Commune de la CorrèzeCommune touristique françaiseLocalité adhérant à l'association Les Plus Beaux Villages de FranceAncien chef-lieu de canton de la CorrèzeAire urbaine de Brive-la-GaillardeCommune de la Corrèze ayant porté un nom révolutionnaire


occitancommune françaisedépartementCorrèzerégionNouvelle-AquitaineVicomté de TurenneJurassiqueCorrèzeDordogneLotMeyssaccoquilles Saint-JacquesTourmenteLoyreIXe siècle823XIVe siècle1738Aquitaine1560Périgord noirBas LimousinQuercytranshumancesXVe siècleMeymacLapleauCorrèzeTerrassonDordogneGramatLotArgentatServièresBeaulieuGagnacMartelSaint-CéréBretenouxPuybrunCarennacVayracCuremonteMeyssacCollongesIXe siècleXIIIe siècleCombornVézèrecroisadesXIVe sièclecomtes de CommingesRoger de BeaufortAvignonClément VIGrégoire XIGuillaume III Roger de BeaufortRaymond de TurenneAntoinette de Turenne14441738La Tour d'AuvergneHenri de La Tour d'AuvergneHenri IVduc de BouillonSedanHenriRéformecalvinismebateliersDordogne1575Saint-BarthélemyHenri de La TourHenri de Navarreguerres de religionFrondeLouis XVCharles-GodefroyfiefRévolutionConventionMont-FrancXIIIe siècleblasonrecensements de la populationpopulations légalesInseeCorrèzeFranceMayotteplus beaux villages de France





Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Turenne.




































Turenne.mw-parser-output .entete.mapbackground-image:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7a/Picto_infobox_map.png")

Turenne (Corrèze)
Vue générale

Blason de Turenne
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la FranceFrance

Région

Nouvelle-Aquitaine

Département

Corrèze

Arrondissement

Brive-la-Gaillarde

Canton

Saint-Pantaléon-de-Larche

Intercommunalité

Communauté d'agglomération du bassin de Brive

Maire
Mandat
Yves Gary
2014-2020

Code postal
19500

Code commune
19273
Démographie

Gentilé
Viscomtins ou Turennois

Population
municipale
850 hab. (2016 en augmentation de 8,83 % par rapport à 2011)
Densité30 hab./km2
Géographie

Coordonnées

45° 03′ 15″ nord, 1° 34′ 57″ est

Altitude
Min. 140 m
Max. 408 m

Superficie
28,03 km2
Localisation


Géolocalisation sur la carte : Corrèze



Voir sur la carte administrative de la Corrèze

City locator 14.svg

Turenne




Géolocalisation sur la carte : Corrèze



Voir sur la carte topographique de la Corrèze

City locator 14.svg

Turenne




Géolocalisation sur la carte : France



Voir la carte administrative de France

City locator 14.svg

Turenne




Géolocalisation sur la carte : France



Voir la carte topographique de France

City locator 14.svg

Turenne





Turenne (Torèna en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.


Les habitants s'appellent les Viscomtins, en souvenir de la Vicomté de Turenne, ou Turennois.




Sommaire





  • 1 Géographie

    • 1.1 Communes limitrophes



  • 2 Histoire

    • 2.1 Héraldique



  • 3 Politique et administration


  • 4 Démographie


  • 5 Économie


  • 6 Patrimoine

    • 6.1 Patrimoine civil


    • 6.2 Patrimoine religieux



  • 7 Notes et références

    • 7.1 Notes



  • 8 Bibliographie


  • 9 Voir aussi

    • 9.1 Articles connexes


    • 9.2 Liens externes





Géographie |


Le village, perché sur une butte du Jurassique, se situe aux confins de la Corrèze au nord, à quelques kilomètres de la Dordogne à l'ouest (région Nouvelle-Aquitaine), à 3 km du Lot (région Occitanie) au sud.


La butte est entourée d'une vaste dépression, bordée à l'est par la faille de Meyssac (la fin du Massif Central). Durant la 2e ère géologique, le territoire était recouvert par la mer, quelques témoins nous restent de cette période, un cimetière de fossiles de coquilles Saint-Jacques au pied du village et de coquillages au pied du château.


Il semblerait que la 1re implantation du château se trouvait à quelques centaines de mètres à l'est, sur le Puy de Gondres.


La butte domine la vallée de la Tourmente et contrôlait l'ancienne voie Limoges-Brive-Cahors-Toulouse.


La commune est bordée au nord-est par la Loyre.



Communes limitrophes |





Carte de la commune.













Communes limitrophes de Turenne

Jugeals-Nazareth

Cosnac

Lanteuil

Nespouls
Turenne
Noailhac

Cressensac
(Lot)

Sarrazac (Lot)

Ligneyrac


Histoire |




Tour de César
par Séraphin-Médéric Mieusement
(septembre 1891).


C'est au IXe siècle (823) qu'apparaissent les premiers seigneurs de Turenne[1] . Devenue un véritable État féodal à la suite des croisades, puis un des plus grands fiefs de France au XIVe siècle, le comté de Quercy puis la vicomté de Turenne jouit du Moyen Âge au XVIIIe siècle d'une autonomie complète.
Jusqu'en 1738, les vicomtes, tenus à un simple hommage d'honneur envers le roi et exempts d'impôts à son égard, agissent en véritables souverains : ils réunissent des États généraux, lèvent les impôts, battent monnaie, anoblissent.
La vicomté forme un état dans l'État. Ainsi, lorsque le roi interdit dans le royaume la culture du tabac, introduite en Aquitaine en 1560, cette mesure ne s'applique pas à la vicomté, où, au contraire, elle s'intensifie.


La seigneurie de Turenne occupe un territoire limité par trois provinces et trois évêchés. Jouxtant le Périgord noir, elle prend appui dès l'origine sur le Bas Limousin et le Quercy.
Elle contrôle notamment les transhumances de bétail entre les plateaux du Limousin et ceux du Quercy.
Dans sa plus grande extension, au XVe siècle, elle s'étire des environs de Meymac ou de Lapleau (Corrèze), au nord-est, à ceux de Terrasson (Dordogne), à l'ouest, et de Gramat (Lot), au sud.
À cette époque, les principales villes fortifiées de la vicomté sont Argentat, Servières, Beaulieu, Gagnac, Martel, Saint-Céré et Turenne ; les remparts entourent également les bastides de Bretenoux et Puybrun, les cités de Carennac, Vayrac, Curemonte, Meyssac et Collonges. On dénombre alors environ 100 000 habitants, répartis en 18 500 feux, 111 paroisses, 1 200 villages et bon nombre d'abbayes.





Raymond VIII de Turenne
par Girolamo di Benvenuto
fresque de l’Ospedale Santa Maria della Scala à Sienne


Turenne a vu se succéder quatre familles de vicomtes.
Du IXe siècle au XIIIe siècle, les Comborn, originaires de la vallée de la Vézère, qui participent activement aux croisades et aux guerres franco-anglaises, obtiennent des privilèges exorbitants des rois de France.
Puis, durant la première moitié du XIVe siècle.
la vicomté est reprise par les comtes de Comminges, grands féodaux pyrénéens, avant d'être cédée, pendant 94 ans, aux Roger de Beaufort, dont sont issus deux papes d'Avignon, Clément VI et Grégoire XI. Cette famille donna deux vicomtes : Guillaume III Roger de Beaufort, Raymond de Turenne, huitième du nom et deux vicomtesses Antoinette de Turenne et Éléonore de Beaujeu.
Ensuite, de 1444 à 1738, la vicomté devient la possession de la famille des La Tour d'Auvergne[2]. À leur apogée, Henri de La Tour d'Auvergne, coreligionnaire et compagnon d'armes du roi Henri IV, devient duc de Bouillon et prince de Sedan. Son fils Henri, maréchal de France, reçoit le surnom de «grand Turenne».


Sous les La Tour d'Auvergne, la vicomté passe à la Réforme. Le calvinisme, propagé par les bateliers de la Dordogne, se diffuse dans la région. En 1575, après la Saint-Barthélemy, Henri de La Tour s'engage aux côtés d'Henri de Navarre ; Turenne devient un haut lieu des guerres de religion puis des troubles de la Fronde.


Le 8 mai 1738, Turenne est vendue à Louis XV, pour rembourser les dettes de jeu de Charles-Godefroy, le dernier des vicomtes de la famille La Tour d'Auvergne. Ainsi prend fin la quasi-indépendance du dernier fief français.
Les viscomtins, devenus sujets de Louis XV, sont alors contraints à l'impôt et le roi ordonne le démantèlement de la forteresse.
À la Révolution, Turenne n'est plus que le siège d'une prévôté royale.


Sous la Révolution française, pour suivre un décret de la Convention, la commune change de nom pour Mont-Franc.


De la tour César (tour du suzerain) on aperçoit le village de Jugeals Nazareth. La chapelle Notre-Dame-de-Nazareth est mentionnée dans un livre belge, du XIIIe siècle, des pèlerins de Saint-Jacques de-Compostelle comme un arrêt conseillé. Nazareth appartenait à Turenne jusqu'au XIXe siècle, date à laquelle le village fut rattaché à Jugeals.



Héraldique |


Blason Vicomté Limoges Comborn.svg

Armes de la commune : coticé d'or et de gueules de douze pièces (armes des Turenne). Le blason a été voté le 22 janvier 1978.


Dicton corrèzien célèbre:


VENTADOUR vente,

POMPADOUR pompe,

TURENNE règne,

Et CHATEAUNEUF ne les craint pas d'un œuf,

Des CARS richesse (grandeur),

BONNEVAL noblesse.



Politique et administration |













Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
En cours
Yves Gary

UMP-LR
Retraité


Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[3]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[4].



En 2016, la commune comptait 850 habitants[Note 1], en augmentation de 8,83 % par rapport à 2011 (Corrèze : -0,38 %, France hors Mayotte : +2,44 %).






















Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 6101 6171 7161 7221 9881 8541 8681 8761 891



















185618611866187218761881188618911896
1 8832 2101 7681 7051 7031 7541 6841 6321 543



















190119061911192119261931193619461954
1 4671 4231 3491 1331 101967976894823



















196219681975198219901999200420092014
743705699718740742770796822



















2016--------
850--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[6].)



Histogramme de l'évolution démographique




Économie |




Patrimoine |




Vue du village depuis l'extérieur.




Maisons du bourg.




Porte donnant accès au château




Vue sur le village, le jardin à la française et le donjon de l'ancienne forteresse vicomtale, et la campagne environnante, depuis la tour César.



Patrimoine civil |


  • Maison Livet du XVe siècle inscrite aux monuments historiques[7].

  • Maison Duché du XVIe siècle inscrite aux monuments historiques[8].

  • Maison Cheyroux du XVe siècle inscrite aux monuments historiques[9].

  • Château de Linoire du XVe siècle inscrit pour une partie et classé pour l'autre aux monuments historiques[10].

  • La tour César (XIIe siècle) et la tour de l'horloge (XIIIe siècle), vestiges de l'ancienne forteresse classée aux monuments historiques[11].

Au XIVe siècle un second donjon, la « tour du Trésor ou tour de l'Horloge » est juxtaposé à l'ancien. De plan quadrangulaire elle est munie de contreforts plats comme les vieux donjons romans.
  • Le village descend en cascade du XIIIe siècle au XVIIe siècle .

  • Quantité de maisons nobles.


Patrimoine religieux |




Notre-Dame-Saint-Pantaléon




Collégiale Notre-Dame-Saint-Pantaléon


Article détaillé : Collégiale Notre-Dame-et-Saint-Pantaléon de Turenne.

  • La Collégiale de Turenne, baptisée Notre-Dame-Saint-Pantaléon a été construite de 1660 à 1680 dans un style roman très élevé (voute à 13,20 m) et très sobre. Elle dispose d'un retable en bois doré à trois niveaux des frères Tournié de Gourdon (46). Sur les côtés du chœur, 18 stalles en bois permettaient à des chanoines d'apporter leurs chants et leur apparat à l'office (d'où l'appellation de collégiale). En bas du vitrail de saint Martial (créé en 1860), un médaillon décrit le château avant sa démolition après le rachat de 1738 par la couronne de France avec une précision étonnante : un levé topographique de 1998 fait ressortir les fondations des tours et gros murs, exactement comme sur le dessin. Une église Saint-Paul a existé à Turenne antérieurement, mais on n'en retrouve aucune trace. La collégiale et son retable sont classés aux monuments historiques. Un son et lumière très documenté (peut être trop!) est accessible au fond de la collégiale qui n'est ouverte que des Rameaux à Toussaint, pendant les vacances scolaires de la Corrèze et les dimanches après-midi.

  • Ancienne chapelle des Capucins classée aux monuments historiques[12].

Selon les études récentes faites sur le patrimoine bâti roman en vicomté de Turenne par M. Paloumbas, il semblerait que la rue droite ait été doublée, rétrécissant ainsi cette voie principale qui monte directement au château.


Turenne est classée parmi les plus beaux villages de France.



Notes et références |



  1. Christian Remy, Gilles Séraphin, en collaboration avec Nicolas Faucherre - Le castrum vicomtal de Turenne - pp.381-410 dans Congrès archéologique de France - 163e session - Corrèze - 2005 - Société Française d'Archéologie - Paris - 2007


  2. https://books.google.fr/books?id=j3kUAQAAMAAJ&pg=PA211 Lettres patentes de Louis XI, Plessis-du-Parc-lèz-Tours, novembre 1476


  3. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  4. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.


  5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  6. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  7. « Maison Livet », notice no PA00099934, base Mérimée, ministère français de la Culture


  8. « Maison Duché », notice no PA00099933, base Mérimée, ministère français de la Culture


  9. « Maison Ceyroux », notice no PA00099935, base Mérimée, ministère français de la Culture


  10. « Château de Linoire », notice no PA00099931, base Mérimée, ministère français de la Culture


  11. « Vestiges du château », notice no PA00099930, base Mérimée, ministère français de la Culture


  12. « Ancienne chapelle des Capucins », notice no PA00099929, base Mérimée, ministère français de la Culture



Notes |



  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.



Bibliographie |


  • Agnès Brahim-Giry, Dimitri Paloumbas, Turenne, Collonges-la-Rouge (Corrèze), Samogy éditions d'art (collection Parcours du patrimoine no 360), Paris, 2011 (ISBN 978-2-7572-0467-2) ; p. 96

  • Christian Remy, Gilles Séraphin, Le castrum vicomtal de Turenne, p. 381-410, dans Congrès archéologique de France. 163e session. Monuments de la Corrèze. 2005, Société française d'archéologie, Paris, 2007


Voir aussi |


.mw-parser-output .autres-projets ulmargin:0;padding:0.mw-parser-output .autres-projets lilist-style-type:none;list-style-image:none;margin:0.2em 0;text-indent:0;padding-left:24px;min-height:20px;text-align:left.mw-parser-output .autres-projets .titretext-align:center;margin:0.2em 0.mw-parser-output .autres-projets li afont-style:italic

Sur les autres projets Wikimedia :




Articles connexes |


  • Liste des communes de la Corrèze

  • Anciennes communes de la Corrèze

  • Liste des monuments historiques de la Corrèze

  • Gare de Turenne


Liens externes |


  • Ville de Turenne- la Mairie

  • Office du Tourisme du Pays de Brive

  • le Causse Correzien

  • Le Château de Turenne

  • Turenne l'un des plus beaux Villages de France


  • Portail de la Corrèze Portail de la Corrèze
  • Portail de l’Occitanie Portail de l’Occitanie
  • Portail des communes de France Portail des communes de France

Popular posts from this blog

Isabella Eugénie Boyer Biographie | Références | Menu de navigationmodifiermodifier le codeComparator to Compute the Relative Value of a U.S. Dollar Amount – 1774 to Present.

Lioubotyn Sommaire Géographie | Histoire | Population | Notes et références | Liens externes | Menu de navigationlubotin.kharkov.uamodifier« Recensements et estimations de la population depuis 1897 »« Office des statistiques d'Ukraine : population au 1er janvier 2010, 2011 et 2012 »« Office des statistiques d'Ukraine : population au 1er janvier 2011, 2012 et 2013 »Informations officiellesCartes topographiquesCarte routièrem

Mpande kaSenzangakhona Biographie | Références | Menu de navigationmodifierMpande kaSenzangakhonavoir la liste des auteursm