Musée Crozatier au Puy-en-Velay Sommaire Histoire et description | Collections | Bibliographie | Références | Article connexe | Menu de navigationwww.lepuyenvelay.fr/culture-et-patrimoine/musee-n15.htmlmodifiermodifier le codelire en lignelire en ligneVeille Info Tourismearticle, sur le site de la ville du Puy-en-Velay.Musée CrozatierMusée Crozatier au Puy-en-Velaym

Musée dans la Haute-LoireLabel musée de France dans la Haute-LoireLe Puy-en-VelayMusée fondé en 1868


Puy-en-Velay182018191825société académique1848Charles CrozatierCharles CrozatierVinayVelayHaute-Loiremasques mortuairesAuberge RougeMartin DrollingJoseph Soumy





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Informations générales
Surface

3716 m²
Visiteurs par an

26 547 (2003)
28 089 (2004)
20 732 (2005)
24 087 (2006)
19 101 (2007)[1]
Site web

www.lepuyenvelay.fr/culture-et-patrimoine/musee-n15.htmlVoir et modifier les données sur Wikidata



Collections
Collections

Peinture, sculpture, préhistoire, sciences naturelles, géologie, mécanique, dentelle.











Localisation
Pays

Flag of France.svg France
Région

Auvergne-Rhône-Alpes
Commune

Le Puy-en-Velay
Adresse

Jardin Henri Vinay
43000 Le Puy-en-Velay
Coordonnées

45° 02′ 19″ N, 3° 52′ 59″ EVoir et modifier les données sur Wikidata

Localisation sur la carte de France

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Le musée Crozatier a été créé en 1820, au Puy-en-Velay. Le bâtiment dans son lieu actuel a été inauguré en 1851 ; il est situé au fond du jardin Henri-Vinay (dit le « fer à cheval » à cause de sa forme).




Sommaire





  • 1 Histoire et description


  • 2 Collections

    • 2.1 Peinture française


    • 2.2 Relevés des fresques de la cathédrale du Puy



  • 3 Bibliographie


  • 4 Références


  • 5 Article connexe




Histoire et description |


Après une première tentative résultant d’une initiative préfectorale du 26 germinal an IX qui n’eut pas de suite, le musée est créé en 1820[2]. En 1819, le préfet charge le vicomte de Becdelièvre de mener des recherches sur les antiquités du département. Il en identifie un nombre suffisant pour justifier la recherche d’un local. Le choix se porte sur une église délabrée qui avait fait partie du couvent des religieuses de Sainte-Marie. Le musée, qui s’appelle alors musée Caroline, accroît rapidement ses collections. La gestion du musée est confiée en 1825 à la société académique. Le musée comprend trois sections : antiquités, médailles, statues, tableaux, dessins et gravures pour la première, minéralogie pur la seconde et zoologie pour la troisième. L'augmentation des collections conduit a souhaiter la construction d’un nouveau bâtiment. C’est ce que décide le Conseil Municipal en 1848 (M. Eyraud, maire). Le projet de l’architecte départemental Normand est accepté en 1850. L’inauguration a lieu en 1851. Cette construction est trop petite et il est rapidement décidé un agrandissement. Le coût prévu des travaux est partiellement assuré par Charles Crozatier, sculpteur et membre de la société, qui donne 100 000 francs, complété ensuite par sa veuve pour 26 000 francs. C’est en 1862 que les plans de M. Martin, architecte de la ville, sont adoptés. L’inauguration a lieu en 1868, le musée porte alors le nom de Charles Crozatier, en même temps que celle du jardin public, initiative de M. Vinay.
Les deux ailes latérales, prévues dans le projet Martin, sont construites ensuite.


Une très belle vue sur la haute ville peut être observée au sommet des marches à l'entrée du musée.


Le musée a été fermé pour rénovation complète de 2013 à 2018[3]. Il ouvre au public en juillet 2018.



Collections |


La diversité des collections du musée (peinture, sculpture, préhistoire, sciences naturelles, géologie, la mécanique, la dentelle, les arts régionaux) permet une découverte de l'histoire du Velay et de la Haute-Loire.


Le musée conserve notamment les masques mortuaires des suppliciés de l'Auberge Rouge[4].



Peinture française |


Martin Drolling et Joseph Soumy (ce dernier né au Puy-en-Velay) figurent parmi les peintres français dans les collections du musée.



Relevés des fresques de la cathédrale du Puy |


Le musée conserve des relevés établis à deux époques[5],[6] :


  • relevés à échelle réduite réalisés par Florentin et Émile Giraud lors des restaurations du milieu du XIXe siècle ; ce sont les seuls témoins des fresques romanes du bras sud du transept, aujourd'hui disparues ;

  • relevés à taille réelle effectués par Léon Giron[7] vers 1900.


Bibliographie |


  • Roger Gounot, Les inscriptions des urnes des cœurs des princes et de princesses royales au musée du Puy : in Cahiers de la Haute-Loire 1972, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, 1972(lire en ligne)

  • Luc Tixier, Contribution à l’étude de la céramique médiévale : à propos d’un vase à fond marqué d’un signe cruciforme conservé au musée du Puy-en-Velay : in Cahiers de la Haute-Loire 1976, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, 1976(lire en ligne)

  • Roger Gounot, Mobilier et artisanat en Velay : Catalogue des collections du musée Crozatier, Le Puy-en-Velay, Éditions de la Société Académique du Puy-en-Velay et de la Haute-Loire, 1977


Références |



  1. Veille Info Tourisme, p. 109


  2. Vibert Jean-Baptiste, Musée du Puy, catalogue de la section des beaux-arts. Le Puy : Notice historique sur le musée du Puy, ed. M.P. Marchessou, 1872, 135 p. (ark:/12148/bpt6k6524690p), pp. V-XV


  3. « Le Musée est en cours de rénovation. » article, sur le site de la ville du Puy-en-Velay., consulté le 12 novembre 2013 ; Musée Crozatier, site de l'Office de tourisme, consulté le 11 octobre 2017.


  4. Christine Bouschet, Peyrebeille. L’affaire de l’auberge sanglante, Mon Petit Editeur, 2012, p. 25


  5. Regard du XIXe siècle sur les fresques de la cathédrale, Le Puy-en-Velay, Éd. Jeanne-d'Arc, 136 p.


  6. Léon Pressouyre, Robert Dulau, Jannie Mayer, Le Dévoilement de la couleur : relevés et copies de peintures murales du Moyen Âge et de la Renaissance, exposition, Paris, Conciergerie, 15 décembre 2004 - 28 février 2005, Éditions du CTHS, 2004, 222 p.


  7. Notable ponot, peintre et homme de lettres, il a été directeur du musée.



Article connexe |


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