Ploërmel (ancienne commune) Sommaire Toponymie | Géographie | Histoire | Blasonnement | Politique et administration | Sports et loisirs | Démographie | Langues | Économie | Jumelages | Lieux et monuments | Personnalités liées à la commune | Médias | Notes et références | Voir aussi | Menu de navigationmodifierVotre aideArrêté portant création de la commune nouvelle de Ploërmel« Copie archivée »« L’ordonnance signée dans le Morbihan qui expulsa les juifs de Bretagne »lireArticle24« Alloués, Syndics et Maires de Ploërmel »« Basket Club Ploërmel »L'organisation du recensementCalendrier départemental des recensementsDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui20062007200820092010201120122013201420152016Notice no IA00010266Notice no PA00091506« La communauté des Carmes de Ploërmel »Ploërmel (ancienne commune)Site officiel

Ancienne sous-préfectureAncien chef-lieu de districtPloërmelAncienne commune du MorbihanAire urbaine de PloërmelToponyme évoquant l'ours


commune françaisedépartementMorbihanrégionBretagneMonterreinPloërmelcommune nouvelle864latincartulaire de RedonbretonArthmaelBretagnesaint ArmelPlouarzelSaint-ArmelErgué-ArmelPlouharnelreliquesgallobretonMorbihanforêt de BrocéliandeRennesVannesRedonBretagneLoyatGourhelCampénéacAuganMonterreinVal d'OustMontertelotGuillacTaupontunité urbainepôleaire urbaine de Ploërmelespace urbain de PloërmelMassif armoricainRennesLorientSaint-MaloEtats de Bretagneduché de Bretagneguerre de Succession de Bretagne13411381Combat des TrenteJosselin135013701348Europepeste noiremassacre de la Saint-BarthélemyRéformés1795Boulainvilliersarbres de la libertéMontfortJosselindistrict17901795arrondissement180019261881gare de PloërmelQuestembert à PloërmelPloërmel à La BrohinièreLa Trinité-PorhoëtChâteaubriant à Ploërmelvoie verte entre Mauron et Questembert1994loupVendéeloi du 9 décembre 1905catholique pratiquanteBretonsCanadaOccupationLa MennaisFrance libreétang au Duc2122 décembre1942Résistance194315 juilletMaurice Guillaudot12 juin1944front de Normandie45 août6 aoûtGuerVannesLorientRésistance intérieure française30 juin1944Saint-Jacques-de-la-LandeRennes14 juin20 juinFrance libreLibye194210 juinPlumelec24 juin4 aoûtLoyat31 marsLégion d'honneurgénéral de Gaulle1947Monterreincommune nouvellePloërmelarmoiriesblasonnentLouis XVIIIlettres patenteslogo200920141808recensements de la populationpopulations légalesInseeMorbihanFranceMayotteMoyen Âgegallolangue romaneceltique2005pays gallo20171960Denys de la PatellièreForces françaises libresLino VenturaCharles Aznavourmaquis de Saint-MarcelCatherine Frot1971Michel WynLoyatRennesNormandiedébarquementRésistanceGeorges LautnerPaul Meurisse1961





































Ploërmel
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Ploërmel (ancienne commune)
Mairie de Ploërmel

Blason de Ploërmel commune disparue
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Bretagne

Département

Morbihan

Arrondissement

Pontivy

Canton

Ploërmel (chef-lieu)

Intercommunalité

Ploërmel Communauté (siège)

Code postal
56800

Code commune
56165
Démographie

Gentilé
Ploërmelais
Géographie

Coordonnées

47° 55′ 57″ nord, 2° 23′ 46″ ouest

Altitude
75 m
Min. 19 m
Max. 106 m

Superficie
50,81 km2
Historique

Date de fusion
1er janvier 2017
Commune(s) d’intégration

Ploërmel
Localisation


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Ploërmel
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Ploërmel [ploɛʁmɛl] est une ancienne commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.


Le 1er janvier 2019, elle fusionne avec la commune de Monterrein. Ces deux communes donnent alors naissance à la commune de Ploërmel qui prend le statut administratif de commune nouvelle[1].




Sommaire





  • 1 Toponymie


  • 2 Géographie

    • 2.1 Situation


    • 2.2 Géographie physique


    • 2.3 Voies de communication



  • 3 Histoire

    • 3.1 États de Bretagne


    • 3.2 XIVe siècle


    • 3.3 XVe et XVIe siècles


    • 3.4 Révolution française


    • 3.5 XIXe siècle


    • 3.6 Loi de séparation des Églises et de l’État


    • 3.7 Seconde Guerre mondiale


    • 3.8 Le XXIe siècle



  • 4 Blasonnement


  • 5 Politique et administration

    • 5.1 Tendances politiques et résultats


    • 5.2 Liste des maires



  • 6 Sports et loisirs


  • 7 Démographie


  • 8 Langues


  • 9 Économie


  • 10 Jumelages


  • 11 Lieux et monuments


  • 12 Personnalités liées à la commune


  • 13 Médias

    • 13.1 Au cinéma



  • 14 Notes et références

    • 14.1 Notes


    • 14.2 Références



  • 15 Voir aussi

    • 15.1 Bibliographie


    • 15.2 Articles connexes


    • 15.3 Liens externes





Toponymie |


En 864, la commune était nommée en latin : Plebs Arthmael dans une charte du cartulaire de Redon, ce qui signifie la paroisse (plou en breton signifie paroisse) d'Arthmael, qui se dit aujourd'hui Arzhel ou Armel. Ploërmel fait donc partie des nombreuses communes de Bretagne nommées en l'honneur de saint Armel, avec Plouarzel, Saint-Armel, Ergué-Armel et Plouharnel. C'est à Ploërmel que ses reliques étaient conservées au Moyen Âge.


L'étymologie du prénom Armel est arth : ours et mael : prince. Le prince aux qualités de l'ours. À l'époque, pour les Bretons, donner les attributs d'un animal comme l'ours était valorisant. D'autres prénoms comme Conan (personnes aux qualités du chien) peuvent également être mal compris actuellement, alors que pour les contemporains c'étaient des qualités.


Cependant, une autre étymologie indiquerait que arth viendrait de ard qui voudrait dire « haut ». Aussi, Arthmael pourrait signifier « Haut-prince ».


Le nom de la commune en gallo est Pieurmè ou Pleurmaèu, Ploermael ou Plou Armel en breton qui signifie la paroisse d'Armel.



Géographie |



Situation |




Localisation de Ploërmel au nord-est du Morbihan.


Ploërmel est située au nord-est du Morbihan, à proximité de la forêt de Brocéliande, à 50 km au sud-ouest de Rennes, 35 km au nord-est de Vannes et 47 km au nord-ouest de Redon, approximativement au centre géographique de l'ancienne province de Bretagne.


Les communes limitrophes sont Loyat, Gourhel, Campénéac, Augan, Monterrein, Val d'Oust, Montertelot, Guillac et Taupont.


Selon le classement établi par l'INSEE[2], Ploërmel est une ville isolée, c'est-à-dire une unité urbaine d'une seule commune. Elle forme le pôle de l'aire urbaine de Ploërmel, qui est aussi l'espace urbain de Ploërmel.



Géographie physique |


La commune est située au cœur du Massif armoricain.



Voies de communication |


Ploërmel se trouve au croisement de l'axe Rennes-Lorient (voie express N 24) et de l'axe Vannes-Saint-Malo (voie express N 166 puis D 766).



Histoire |




Vue du monument le plus emblématique et le plus important de Ploërmel : l'église Saint-Armel (XVe siècle) qui abrite la sépulture des ducs Jean II et Jean III de Bretagne.


Des vestiges d'exploitation minière de l'étain, probablement romaine, ont été découverts près de La Hye[3].



États de Bretagne |


Les réunions des Etats de Bretagne n'avaient pas de lieu fixe et ont été tenues à plusieurs reprises à Ploërmel, qui apparaît donc comme une ville importante du duché de Bretagne. D'après un document de la D.R.A.C. (Direction Régionale des Affaires Culturelles), de provenance inconnue, les états de Bretagne siégèrent au moins treize fois à Ploërmel, en 1240, 1309, 1315, 1394, 1408, 1411, 1428, 1442, 1498, 1521, 1523, 1580, 1587 et 1606.
En 1240, le duc de Bretagne a ordonné l’expulsion de tous les juifs du duché dans une ordonnance signée à Ploërmel[4].



XIVe siècle |




Le combat des Trente entre Ploërmel et Josselin, les deux villes représentées ?


Durant la guerre de Succession de Bretagne (1341-1381), le fameux Combat des Trente se déroula le 26 mars 1351 au lieu-dit le Chêne de Mi-voie, à mi-chemin entre Ploërmel et Josselin. Par la suite, Ploërmel fut occupée par les Anglais de 1350 à 1370.


Par ailleurs, de 1348 à 1350, la ville subit, comme presque toute l'Europe, les ravages de la peste noire.



XVe et XVIe siècles |


Après le massacre de la Saint-Barthélemy, les troubles religieux qui avaient jusqu'alors épargné la Bretagne vont s'aggraver. Les Réformés prévoyant d'organiser un synode pour Pâques 1581 dans la ville sont obligés de l'annuler par suites de l'opposition des habitants[5],



Révolution française |


En mai 1795, une bande de chouans conduite par Boulainvilliers coupa les arbres de la liberté dans les paroisses autour de Montfort, Josselin et Ploërmel[6].



XIXe siècle |


Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926. En 1926, Ploërmel perd sa qualité de sous-préfecture, son tribunal d’arrondissement, sa prison et sa recette des finances[7].




Ancienne gare de Ploërmel.


Le chemin de fer arrive sur la commune en 1881[8] ; la gare de Ploërmel va se développer en lien avec plusieurs lignes (Questembert à Ploërmel, Ploërmel à La Brohinière, Ploërmel à La Trinité-Porhoët, dite le « petit Pelot », et Châteaubriant à Ploërmel). L'histoire ferroviaire de la ville prend fin avec l'ouverture de la voie verte entre Mauron et Questembert qui remplace la voie ferrée en 1994[9].


Henri de Tingy de Nesmy[10], chassa le loup dans la région de Ploërmel et au-delà jusqu'en Vendée ; il en aurait tué peut-être 2 000[11].



Loi de séparation des Églises et de l’État |


La loi du 9 décembre 1905 est mal vécue à Ploërmel dont la population est catholique pratiquante, comme la plus grande partie des Bretons. Quelque 500 Ploërmelais avaient manifesté au son du tocsin le 12 février 1904 lors de l'arrivée en train, de l'armée (1 200 hommes)[12], venue déloger les Frères de l'école La Mennais : l'école fut cernée, mais des officiers refusèrent d'ordonner l'assaut, désobéissant aux ordres reçus[13] ; des Frères furent contraints de s'exiler au Canada ; les religieuses furent également expulsées du couvent des Ursulines du Sacré-Cœur[14].



Seconde Guerre mondiale |


Pendant l'Occupation, l'école La Mennais est transformée en caserne allemande.


Dans le cadre de la mission Cokle, deux agents de la France libre, le lieutenant Guy Lenfant et le sergent radio André Rapin, furent parachutés près de l'étang au Duc, dans la nuit du 21 au 22 décembre 1942. Ils prirent contact avec la Résistance à Ploërmel. Durant le premier semestre 1943, ils organisèrent la réception de plusieurs parachutages d'armes et d'explosifs qui furent cachés dans des fermes de confiance à Ploërmel, Loyat, Taupont et Campénéac. Les deux parachutistes repartirent en Angleterre par un petit avion, venu les récupérer le 15 juillet 1943, emportant avec eux le plan des défenses allemandes dans le Morbihan, remis par le chef des gendarmes du département, le commandant Maurice Guillaudot, résistant.


La ville fut bombardée par l'aviation américaine le 12 juin 1944. Si une partie des bombes tomba dans des zones inhabitées, du côté de l'étang, une grande partie tomba sur la zone habitée de Ploërmel : le bombardement fit 31 morts et 125 blessés et pas moins de 490 habitations furent détruites ou endommagées. La gare, qui était l'objectif visé pour retarder l'envoi de renforts allemands vers le front de Normandie, ne subit que peu de dommages.


Les militaires allemands quittèrent la ville les 4 et 5 août 1944 en direction de Vannes. Ploërmel fêta sa libération le dimanche 6 août, lorsque des véhicules américains, arrivant de Guer, traversèrent la ville en direction de Vannes et de Lorient. Le docteur Louis Guillois, maire, reçut une délégation de soldats américains devant la mairie, en présence de Ploërmelais qui se rendaient à la messe.


Un certain nombre de Ploërmelais a participé à la Résistance intérieure française. Les résistants Henri Calindre[15] (dit Mystringue), 37 ans, Louis Chérel, 24 ans, Lionel Dorléans, 20 ans et Paul Hervy, 18 ans, ont été fusillés le 30 juin 1944 à La Maltière sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes (35). Leur nom a été attribué à des rues de la ville. Julien Quatreville, 18 ans, Pierre Sassier 23 ans, ont été fusillés le 14 juin 1944 à Ploërmel, un monument porte leur nom, Gustave Le Meur, 18 ans, fusillé le 20 juin 1944 à Ploërmel, un monument et une rue porte son nom. André Leblay, une rue porte aussi son nom. René Dejean, parachutiste de la France libre ayant combattu en Libye en 1942, parachuté en Bretagne le 10 juin 1944, blessé et fait prisonnier près de Plumelec, fut fusillé par les Allemands le 24 juin 1944, une rue porte son nom près de la rue du Val où il avait grandi. Ange Mounier, 39 ans, transporteur à Ploërmel, fut tué au combat le 4 août 1944 près du village de Lézonnet à Loyat, son nom figure sur un monument sur la route de Ploërmel à Loyat. D'autres furent déportés, Robert Turpin, 33 ans, est mort en déportation, une rue porte son nom.


Le commandant de la gendarmerie, le lieutenant Théophile Guillo, également chef de la Résistance à Ploërmel, fut arrêté, torturé et déporté, comme son fils Joseph, le 31 mars 1944. Il sera décoré de la Légion d'honneur par le général de Gaulle, en 1947.



Le XXIe siècle |


La commune fusionne avec la commune de Monterrein au sein de la commune nouvelle de Ploërmel le 1er janvier 2019[1].



Blasonnement |







Blason ville fr Ploërmel (Morbihan).svg


Les armoiries de Ploërmel se blasonnent ainsi :

D'hermines au léopard lionné de sable, couronné d'azur, tenant à sa patte gauche un drapeau du même, chargé de cinq mouchetures d'hermine, d'argent[16].


Le 17 janvier 1816, Louis XVIII a attribué par lettres patentes ce blason, à la demande de la ville[17].


Ploërmel a pour devise : Tenax in fide (« Tenace dans la foi »)


Le logo de Ploërmel - La ville à vivre (à droite) avait été adopté en 2009. La nouvelle municipalité l'a supprimé en 2014.




Logo Ploermel.jpeg


Politique et administration |



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Morbihan.



Liste des maires |












































































































Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
2014
31 décembre 2018
Patrick Le Diffon

UMP puis LR
Cadre de laboratoire - conseiller régional - ancien conseiller général
Président de la Communauté de communes
2008
2014
Béatrice Le Marre

PS
Enseignante - conseillère régionale - conseillère générale
1977
2008

Paul Anselin

UDF puis UMP
Gérant de Société - conseiller général - conseiller régional
1965
1977
Jules Bouchaud

DVD
Notaire - conseiller général
1961
1965
Madeleine Pelletier
 
 
1952
1961
Jean Toutain
 
Commerçant
1904
1952

Louis Guillois

Fédération républicaine
Médecin- conseiller régional - député - sénateur
1896
1904
François Goupil
 
Médecin
1878
1896
Joseph Zudaire
 
Avoué
1876
1878
Gabriel Peschart
 
 
1871
1876
Armand Lucas
 
 
1850
1871
Arthur de Préaudeau
 
 
1848
1850
Jean Druais
 
 
1843
1848
Bouju
 
 
1835
1843
Rodolphe Duportal Lamotte
 
 
1832
1835
Claude Desgoulle
 
 
1831
1832
Pierre Brobant
 
 
1830
1831
Claude Desgoulle
 
 
1821
1830
Pierre Duportal
 
 
1808
1821
Jean Eonnet
 
 

Les données manquantes sont à compléter.

La liste des maires de Ploërmel d'avant 1808 est en annexe[18].



Sports et loisirs |




Bagad Ploërmel.


  • le lac au Duc : centre nautique (voile, aviron, canoë-kayak, ski nautique, label handivoile)

  • Golf 9 trous. AS golf du Lac au Duc.

  • Piscine, halle des sports, tennis couverts.

  • Savate, boxe française : Club Gant Ploërmelais

  • Football : Ploërmel Football Club (PFC), Saint-Jean sports (SJS)

  • Basket-ball : Basket Club Ploërmel (BCP)[19]

  • Sports de combat : centre régional d'arts martiaux

  • Handball : Ploërmel Handball Club


  • Hippodrome de Malleville, inauguré en 1905 ; chaque année ont lieu 3 réunions en août et en septembre (trot, plat, steeple-chase, cross-country).

  • Voies vertes : V3 St. Malo - Rhuys, voie départementale Ploërmel - Guer, chemins de randonnée Ploërmel - Josselin et Ploërmel - La Trinité Porhoët


Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].



En 2016, la commune comptait 9 498 habitants[Note 1], en augmentation de 3 % par rapport à 2011 (Morbihan : +2,81 %, France hors Mayotte : +2,44 %).






















Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
5 2004 6944 7584 9184 8515 2074 9875 1905 635



















185618611866187218761881188618911896
5 2025 4785 6975 4725 5055 7615 8815 9136 041



















190119061911192119261931193619461954
6 0625 4245 3705 2375 4365 3805 6876 0366 037



















196219681975198219901999200620072008
5 7235 9076 2186 5636 9967 5258 5388 6648 790



















20132016-------
9 5259 498-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)



Histogramme de l'évolution démographique




Langues |


Si on a parlé localement breton au Moyen Âge, depuis on y parle gallo, langue romane et non celtique.


En 2005, le conseil général a décidé d'installer des panneaux bilingues français-breton, ce qui a provoqué une polémique dans le pays gallo[24].


À la rentrée 2017, 26 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue publique (soit 2,2 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[25].



Économie |


  • La ville dispose d'une maison des entreprises « Cométias » qui regroupe les 3 chambres consulaires : Chambre de commerce et d'industrie du Morbihan, Chambre de Métiers et de l'Artisanat et Chambre d'Agriculture.

  • Site de production de l'entreprise Babolat spécialisée dans les cordages en boyau naturel.

  • Les Aciéries de Ploërmel, spécialisées essentiellement dans la fabrication de matériel ferroviaire, ont le statut de SCOP.

  • Capsugel, site de fabrication de gélules et de capsules molles, utilisées à la fois par l’industrie du médicament et celle des compléments alimentaires.


  • Sanofi possède un site consacré à la production d’héparines.

  • Les Celluloses de Brocéliande, filiale du groupe Intermarché, fabrique d'articles d'hygiène pour l'enfant et la femme.

  • La MPAP (Manufacture Produits Automobiles de Ploërmel), spécialisée dans les pièces techniques à base de matières plastiques pour l'automobile.

  • ABCD (Avicole Bretonne CECAB Distribution) et PEP (Produits Élaborés Ploërmel), deux usines spécialisées dans le secteur des œufs.

  • Les Gourmandises de Brocéliande, entreprise de fabrication de beignets.

  • IPCB, atelier de chaudronnerie et de découpe d'aluminium, d'acier et d'inox.


  • Yves Rocher, possède un site de fabrication de parfums et de produits pour la toilette.

  • Ancien gisement ardoisier de Cô (fermé en 1983).


Jumelages |




Panneau indiquant les villes jumelées à Ploërmel.


Ploërmel est jumelée avec les villes de :



  • Drapeau de l'Allemagne Apensen (Allemagne) depuis 1980 ;


  • Drapeau de l'Irlande Cobh (Irlande) depuis 1984 ;


  • Drapeau de la Pologne Kolbuszowa (Pologne) depuis 1987 ;


  • Flag of the United Kingdom.svg Gorseinon et Llwchwr (Pays de Galles) (Royaume-Uni) depuis 1994 ;


  • Drapeau de la Guinée Dabola (Guinée) depuis 2003 ;


  • Drapeau des États-Unis Saint-Martinville (États-Unis) (Louisiane – en sommeil).


Lieux et monuments |


Article détaillé : Liste des monuments historiques de Ploërmel.


  • Croix (Carrefour Deux-Ponts/Petit-Pelo).


  • Croix de Roblin.


  • Croix Guyot de Bezon.


  • Croix de Villenard.


  • Croix de Roc-Brien.

Dans la vieille ville :


  • les vestiges des fortifications de la ville érigées en 1175[26] ;

  • le cloître des Carmes (XIIIe siècle) ;

  • la chapelle bleue Sainte-Marie-des-Carmes (XIXe siècle).

Dans l'ancienne ville close :



  • maison des Marmousets (1586) qui porte dans sa partie ouest une tour et un pan de mur, vestiges des anciennes fortifications ;

  • ancien hôtel des ducs de Bretagne (1150) qui porte lui aussi des traces des anciennes fortifications ;

  • maison Bigarré (1669) ;




Église Saint-Armel.



  • église Saint-Armel (XVe siècle). Église dédiée à un saint d'origine celtique ("Arthos", Ours et "Maglos", Grand). Fondée au XVe siècle, l'église a été reconstruite entre 1511 et 1602. Le portail nord, de 1530 environ, présente des scènes de l’Évangile, et des scènes populaires. À l'intérieur, on trouve une voûte en bois ornée de sablières richement sculptées, des verrières (dont l'Arbre de Jessé, 1552), des ornementations, les gisants des ducs Jean II et Jean III ainsi que celui de Philippe de Montauban, chancelier d'Anne de Bretagne. Classé monument historique dès 1840[27], l'édifice a été un peu endommagé par les bombardements américains des 12 et 13 juin 1944 ;

  • l'horloge astronomique (1850-1855) qui est classée monument historique en 1982 ;

  • musée des Sciences naturelles ;

  • musée Jean-Marie de La Mennais ;


  • chapelle des Ursulines (Ploërmel) ;

  • Monument à Jean-Paul II

Aux alentours de la vieille ville :



  • château de Malleville ;

  • sculpture non figurative intitulée L'Arbre (1971-1972), par la sculptrice Simone Boisecq-Longuet, collège Beaumanoir ;

  • sculpture Le Repos du géant (1994), représentant un heaume et une épée sortant de terre, par le sculpteur François Davin, aire de covoiturage.

Au lieu-dit Saint-Antoine :



  • chapelle Saint-Antoine.

Au lieu-dit La Couardière :


  • château de Quéhéon ;


  • chapelle Saint-Roch et la croix de la Couardière.

Au lieu-dit La Croix Fleurie :



  • croix aux Morts.


Personnalités liées à la commune |




Raoul de Navery, vers 1875.




Léon Le Goaebe de Bellée : En forêt, le givre (musée des beaux-arts de Vannes).



  • Jean II de Bretagne, comte de Richemont (1239-1305), fondateur du couvent des Carmes en 1273. Ayant accompagné son père Jean Ier à la 6e croisade, il revint en Bretagne et ramena avec lui de Terre sainte deux religieux carmes qu'il installa à Ploërmel, y fondant la première communauté carme de Bretagne[28].

  • Jacques-Pierre Rioust des Villes-Audrains, avocat au Parlement, né à Ploërmel en 1725, eut un rôle important dans la bataille de Saint-Cast en 1758[29].


  • Marc-Antoine de La Boëssière de Lennuic, marquis de La Boëssière puis député du Morbihan, né en 1766, mort en 1846 en son château de Malleville.


  • Jean-Louis Dubreton (1773-1855), baron, général des armées de la République et de l'Empire (son nom est gravé sous l'Arc de Triomphe).


  • Jean-Marie de La Mennais, né en 1780 à Saint-Malo, mort en 1860 à Ploërmel, fondateur de la congrégation des Frères de l'instruction chrétienne de Ploërmel en 1819 et du lycée qui porte son nom.


  • Stendhal (1783-1842) est passé à Ploërmel au cours de son voyage en Bretagne : « … Ploërmel, dont j'ai admiré la charmante église. Ses formes, quoique gothiques, écartent l'idée du minutieux ; mais il faudrait deux pages pour expliquer suffisamment mon idée ou plutôt ma sensation, et rien ne serait plus difficile à écrire (…) Eh bien ! l'église de Ploërmel, comparée aux autres édifices gothiques, n'a l'air ni pauvre, ni laid. »


  • Giacomo Meyerbeer (1791-1864), musicien allemand, compositeur de l'opéra-comique Le Pardon de Ploërmel : l'opéra a connu une certaine notoriété à l'étranger dans son adaptation italienne, Dinorah, opéra-comique en trois actes, sur un livret de Jules Barbier et Michel Carré. La première représentation eut lieu le 4 avril 1859 à Paris à l'Opéra-Comique. Ombre légère (soprano colorature) est son air fameux: l'un des plus beaux et des plus redoutables du répertoire de musique française. June Anderson et Mado Robin y ont excellé, ainsi que, plus récemment, Natalie Dessay.


  • Alphonse Guérin, né à Ploërmel en 1817, mort à Paris en 1895, médecin et chirurgien, inventeur du pansement.

  • Alexis Guilloux, né à Ploërmel le 5 juin 1819, mort à Port-au-Prince (Haïti) le 24 octobre 1885, archevêque de Port-au-Prince.


  • Raoul de Navery, pseudonyme masculin de Eugénie-Caroline Saffray. Poète et romancière, elle est née en 1829 à Ploërmel et morte à La Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne) en 1885[30].

  • Léon Le Goaebe de Bellée, peintre, né à Ploërmel en 1846, décédé en 1891 à Paris.

  • Ludovic Jan, poète, né à Ploërmel en 1864, décédé à Caulnes en 1894.


  • Louis Guillois (1872-1952), médecin, sénateur et député, fut maire de Ploërmel pendant quarante-huit ans (1904-1952).


  • Dorig Le Voyer (1914-1987), artisan luthier à Ploërmel, fut l’un des principaux artisans de la renaissance de la musique bretonne.


  • Louis Prévoteau (1922-2014), prêtre catholique français, fondateur de la « Madone des motards » à Porcaro.


  • André Fauve (1935-1968), né à Ploërmel, commandant du sous-marin Minerve lors de sa disparition le 27 janvier 1968.


  • Claude François (1939-1978), placé en pension par ses parents dans une école religieuse : « Les Frères de Ploërmel » à Ismaïlia, en Égypte. Il y découvre les règles rigoureuses de la vie en internat.


  • Arturo Philip, psychiatre argentin, né en 1948, décédé à Ploërmel en 2015.


  • Paul Molac, né à Ploërmel en 1962, député du Morbihan depuis juin 2012.


  • Jean-Charles Gicquel, né à Ploërmel en 1967, athlète international, détenteur du record de France de saut en hauteur en plein air, de 1994 à 2014.


  • François-Xavier Ménage, né à Ploërmel en 1980, journaliste et reporter de télévision.


Médias |



Au cinéma |


Dans Un taxi pour Tobrouk, film réalisé en 1960 par Denys de la Patellière, dont l’action se passe en 1942 dans le désert de Libye où des commandos des Forces françaises libres attaquent les arrières de l’armée allemande, le personnage joué par Lino Ventura informe ses trois camarades, dont Charles Aznavour, que le vœu du lieutenant qui vient d’être tué au combat, était de retourner à Ploërmel. Il ajoute : « On n'y est pas encore ! ».
Il s'agit peut-être d'un hommage au parachutage en juin 1944, d'un bataillon de Français Libres sur le maquis de Saint-Marcel près de Ploërmel, dans le cadre du débarquement en Normandie.


Dans le film Vipère au poing, le personnage de Folcoche joué par Catherine Frot s'arrête dans la gare de Ploërmel. La ville de Ploërmel est citée trois fois dans le film.


Dans le 16 à Kerbriant, feuilleton en noir et blanc réalisé en 1971 par Michel Wyn, dont l'action se passe pendant l'été 1944 dans le sud du Morbihan, deux Résistants décident de saboter une ligne de chemin de fer comme le sabotage réalisé quelques jours plus tôt à Ploërmel. Un sabotage fut réellement exécuté par des maquisards dans le secteur de Ploërmel, précisément à la gare de Loyat, en mai 1944, sur le chemin de Rennes et de la Normandie à l'approche du débarquement attendu, pour montrer aux alliés les capacités de la Résistance bretonne.


Dans le film Le Monocle Noir de Georges Lautner avec Paul Meurisse tourné en 1961, quelques scènes l'ont été dans le vieux Ploërmel et dans une maison de la place d'Armes.



Notes et références |



Notes |




  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.




Références |



  1. a et bArrêté portant création de la commune nouvelle de Ploërmel (publié le 28 décembre 2018)


  2. Page INSEE [1] « Copie archivée » (version du 11 janvier 2012 sur l'Internet Archive) ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection.


  3. E. Thomas et al., Carte Géologique de la France - Ploërmel, BRGM, 2004, voir p 88-90 où la présence de cassitérite est attestée à La Ville Der et à La Hye, à environ 8 km au Sud-Ouest de Ploërmel.


  4. « L’ordonnance signée dans le Morbihan qui expulsa les juifs de Bretagne », Ouest-France, 24 février 2019.


  5. Archives nationales, Coligny, protestants et catholiques en France au XVIe siècle, Paris, 1972, p.13.


  6. Jean Gallet, Les paysans en guerre, éditions Ouest-France, 1988, (ISBN 2-7373-0157-2).


  7. http://www.morbihan.fr/userfile/media/ad56/flash/ploermel/conseil_general56.html.


  8. Jean-Pierre Nennig, « 11 Questembert - Ploërmel », Le chemin de fer de Bretagne sud, JPN, Guérande, 2008, p. 163-168 (ISBN 2-9519898-5-7).


  9. Jean-Charles Guimard, « de la voie ferrée à la voie verte », La voie verte Mauron-Questembert (Morbihan)…, CESA Magistère d'Aménagement, 1re année, 2009, p. 11 lire (consulté le 26/09/2009).


  10. Henri de Tingy de Nesmy, né le 3 juin 1814 à Nesmy (Vendée), décédé le 6 octobre 1891 à Pleucadeuc (Morbihan).


  11. François de Beaulieu, "Quand on parle du loup en Bretagne", éditions Le Télégramme, 2004, (ISBN 2-84833-096-1)


  12. Le journal Ouest-France du 12 février 2014.


  13. Photographie des cinq officiers exposée au musée de l'école et cartes postales d'époque.


  14. Le Ploërmelais des 5 et 12 octobre 2012.


  15. Article24.


  16. Archives nationales, archives du bureau du sceau, BB/29/988.


  17. Rousseau Emmanuel, Dainville-Barbiche Ségolène, Blanc-Riehl Clément, Couleurs et symbolique. Armoiries des villes, sous le Premier Empire et la Restauration, Paris, Archives nationales, 2010.


  18. « Alloués, Syndics et Maires de Ploërmel ».


  19. « Basket Club Ploërmel ».


  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.


  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  24. http://aosb.free.fr/index.html.


  25. http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm.


  26. Marquis de Bellevue, Résumé de l'histoire de Ploërmel, M.A.B., t. 28, 1909, p. 5.


  27. Notice no IA00010266 et Notice no PA00091506, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  28. « La communauté des Carmes de Ploërmel », infobretagne.com.


  29. Il prit une part active à la défense du Gué du Guildo, où, pendant deux jours, les 7 et 8 septembre 1758, une centaine de volontaires arrêta 12 000 soldats anglais venant de Saint-Jacut, ce qui permit au duc d'Aiguillon de réunir les troupes qui écrasérent l'ennemi à Saint-Cast le 11 septembre 1758. L'importance de son rôle dans cette bataille est néanmoins contestée [2].


  30. Acte de décès non trouvé à La Ferté-sous-Jouarre.



Voir aussi |



Bibliographie |


  • Messire Beaudeville, La légende de Saint Armel, L. Prud-homme, Saint-Brieuc, 1855.

  • Marquis de Bellevue, Résumé de l'histoire de Ploërmel, M.A.B., t. 28, 1909, p. 3-9.

  • Marquis de Bellevue, Tuault de la Bouvrie, dernier sénéchal de la Sénéchaussée de Ploërmel, Député aux états généraux, M.A.B., tome 28, 1909, p. 10-19.

  • Marquis de Bellevue, Monographie de l'église Saint Armel de Ploërmel, M.A.B., t. 28, 1909, p. 26.

  • Marquis de Bellevue, Ploërmel et sénéchaussée, Campion, Paris, 1915.

  • Marquis de Bellevue, L'assemblée de Saint-Armel à Beaucé, M.A.B., t. 28, 1909, p. 135-220.

  • Comte de Berthou, Notes d'un vieux Ploërmelais, M.A.B., t. 28, 1909, p. 177-182.

  • Du Halgouët, Ploërmel, gouverneurs, syndics et sénéchaux, M.A.B., t. 28, 1909, p. 56-68.

  • J. Ealet, Ploërmel, Mémoire en images, A.Sutton, 1995, p. 18. Tome II, 2010.

  • E. Gilles, Au cœur de la Bretagne, de Pontivy à Locminé, Josselin à Ploërmel, première série, lettre de préf. De J.M. Bellec, Pontivy, C. Anger, 1912.

  • A. Hede, « Ploërmel, au palmarès de la croissance économique », Ploërmel Brocéliande, Maguil et Bressy, LMC Mosaïque, Paris, 1993, p. 45-48.

  • J.F. Lagneau, Maison des Marmousets, Ploërmel, Morbihan, Ministère de la culture et de la francophonie, D.R.A.C., S.D.

  • Le Bouteiller, L'assemblée de Saint-Armel à Beaucé, M.A.B., t. 28, 1909, p. 135-140.

  • Abbé Marmagnant, Histoire de Ploërmel, Ploërmel, t. I-II, S.D.

  • M. de Mauny, De Josselin à Ploërmel, Ouest-France, Rennes, 1977.

  • Y. Renard, Ploërmel et son église Saint-Armel, Lyon, 1968.

  • Hélène Roinel, Ploërmel cité ducale et sa région, Le Ploërmelais, Ploërmel, 1987.

  • S. Ropartz, Histoire de Ploërmel, Monographies des villes et villages de France, Rasserts-Lorisse, Office d'édition du livre d'histoire, 1988.

  • E. Thomas et al., Carte Géologique de la France - Ploërmel, BRGM, 2004, voir p 88-90 [3]



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